CSAA x QUEERFOOD

Le vendredi 20 décembre 2019 la Queerfood et le CSAA organisent un repas vegan à prix libre en soutien aux activistes antispécistes autonomes ????
Ça se passe à la Nouvelle Rôtisserie, 4 rue Jean et Marie Moinon, Paris 10ème
Et il y aura deux services : à 19h et à 20h30 !

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Compte-rendu de procès

Jeudi 14 novembre a eu lieu le procès de Julie, Lisa, Bastien et Paul (les prénoms ont été modifiés) pour dégradations sur commerces spécistes (Lisa, Bastien et Paul) et refus de donner son code de téléphone en gav (Julie et Bastien).
Julie et Bastien ont été relaxé.e.s, Lisa a écopé de six mois de prison avec sursis ainsi qu’un stage de citoyenneté et 4000€ pour la Fédération des bouchers du Nord à payer avec Paul qui a aussi écopé d’un stage de citoyenneté.
En attente de l’appel pour la partie civile (les 4000€).


NB: un stage de citoyenneté est un stage (à payer à nos frais, environ 300€) qui promeut « les valeurs républicaines de tolérance et de respect de la dignité humaine sur lesquelles est fondée la société ». Et si nous refusons d’effectuer ce stage (payant) de « comment être un.e bon.ne citoyen.ne français.e », il se transforme en amende pénale.

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Interpellations

Six militant.e.s antispécistes ont été interpellé.e.s mardi 19 novembre autour de Lyon. Iels sont soupçonné.e.s d’avoir pris part à l’incendie d’un abattoir dans l’Ain fin septembre 2018.

Quatre d’entre elleux ont comparu devant un juge d’instruction et ont été mis.e.s en examen pour « incendie volontaire et association de malfaiteurs ». Au moins deux personnes ont été placées en détention provisoire, et une a été placée sous contrôle judiciaire.

Nous n’avons pas plus d’infos pour le moment.

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Journée/soirée féministe en soutien à la caisse antirep

Le CSAA participe a la journée/soirée féministe ce soir au CCL !

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Week-end autour de l’antispécisme

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’association Doggybagcrew, qui vient en aide aux erran.t.es de Grèce, organise un weekend autour de l’antispécisme à Saint-Gilles (Bruxelles) les 23 et 24 novembre, et le CSAA y tiendra un stand !

Toutes les infos sont ici.

 

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Solidarité avec nos camarades antispécistes détenu·e·s en Suisse

❗️Le verdict est tombé !
(English below)

Résumé :

Pour Matthias* :
– 7 acquittements
– Diverses peines pécuniaires conséquentes
– 1 an de prison ferme : il est remis en liberté totale dès ce soir puisqu’il a déjà accompli sa peine !!!
– Délai d’épreuve d’une année

Pour Mirabelle* :
– 7 acquittements
– Diverses peines pécuniaires conséquentes
– 7 mois de prison ferme avec sursis : elle repart donc libre !
– Délai d’épreuve de 3 ans

Pour Raoul :
– 20 jours-amendes avec délai d’épreuve de 3 ans
– Diverses peines pécuniaires

Nos trois camarades repartent donc libres mais soumis-es à des peines fermes et lourdes.

Matthias*, Mirabelle* et leurs avocats feront appel de la décision, qu’ils estiment injustifiée. Plus d’informations suivront ces prochains jours, le temps de souffler un peu.

Merci à toutes et tous pour votre soutien depuis le début de cette affaire ! Et un merci infini aux avocat-e-s de nos camarades qui ont réalisé un travail acharné et des plaidoiries dont le contenu a été incontestable ! ✊????❤️

Summary :

For Matthias*:
– 7 acknowledgements
– Various significant financial penalties
– 1 year in prison: he is totally released tonight since he has already served his sentence!!!!
– Testing time of one year

For Mirabelle*:
– 7 acknowledgements
– Various significant financial penalties
– 7 months in prison is suspended: she is therefore leaving free!
– 3-year test period

For Raoul:
– 20 day fines with a 3-year trial period
– Various financial penalties

Our three comrades therefore left free but subject to firm and severe penalties.

Matthias*, Mirabelle * and their laywyers will appeal this decision, which they consider unjustified. More information will follow these coming days, just the time to relax a bit.

Thank you all for your support since the beginning of this case! And an infinite thank you to the lawyers of our comrades who did a lot of hard work and pleadings whose content was indisputable! ✊????❤️

Cagnotte de soutien aux activistes en Suisse

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La Gamelle Noire – Cantine Antispéciste

Date: 2019-10-06
Heure début: 12:30
Heure fin: 14:00
Lieu: Cha’barde asso, 51 rue de Verdun, Lillers
Description:

Cantine à prix libre, ouverte à tou.tes, dans la bienveillance.

Les bénéfices seront reversés au CSAA et à des refuges locaux qui prennent en charges des animaux non humains victimes du spécisme.

Une participation sera également donnée à Cha’ barde asso.

 

 

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Soirée de soutien aux antispécistes inculpées

Date: 2019-11-09
Heure début: 18:30
Heure fin: 23.30
Lieu: Place de la Gare d’Eau, Lille
Description:

Soirée de soutien sur la péniche antispéciste, près du métro Bois Blancs (Lille)

18h30 Concert : Constantine
19h30 : PROJECTION-DÉBAT sur le spécisme avec des extraits du film « Homo Herbivorus »
DJ Gentil Robot et DJ Kraken

CANTINE VÉGANE

STAND ARTISTIQUE

INFOKIOSQUE

-TOUT À PRIX LIBRE –

Venez montrer votre soutien aux antispécistes qui seront jugées au TGI de Lille le 14 novembre, lors d’une soirée conviviale et militante !

Ni machos, ni fachos : les comportements et propos oppressifs ne sont pas les bienvenus !

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À Strasbourg, les punks « militants » volent l’argent des soirées de soutien destiné aux activistes/prisonnier.e.s révolutionnaires

Quelques faits (en une soirée) concernant une personne – et son entourage – implanté.e dans le milieu militant, « punk » et parasitant nos valeurs.

Ce ne sont pas des faits isolés…

 

À Strasbourg, les punks « militants » volent l’argent des soirées de soutien destiné aux activistes/prisonnier.e.s révolutionnaires. Quelques considérations liées à la soirée de soutien aux activistes antispécistes du 8 mars 2019.

Le Comité de Soutien aux Activités Antispécistes (CSAA) a pour but d’apporter un soutien moral et financier aux activistes luttant pour la destruction du système spéciste, c’est-à-dire pour la considération des intérêts à vivre libre des individu.e.s appartenant à d’autres espèces animales. Le comité s’inscrit dans une perspective révolutionnaire, contre-culturelle et dans le cadre de la convergence des luttes.

Alors que depuis des dizaines d’années les actions « légales » pour les droits des autres animaux se multiplient, leur statut est toujours celui d’un « bien », donc d’un objet, d’une propriété. Le collectif soutient ainsi les actions directes, offensives et autonomes qui installeraient enfin un rapport de force avec le système spéciste. Ainsi, si diverses formes de militantisme sont relativement bien acceptées, ou au moins tolérées, par la police/justice et la population en général (tractages, conférences, happenings), l’action directe reste fatalement condamnée par le pouvoir en place en plus d’être souvent marginalisée au sein-même du mouvement dit militant. De fait, les activistes se retrouvent isolé.e.s face à un système carcéral destructeur – la prison reproduisant souvent à l’extrême les travers de la société.

Inutile de rappeler que la prison et ses avatars ont pour finalité ultime d’annihiler l’instinct contestataire tendant à la liberté et l’égalité de toutes et tous, de casser les individu.e.s, de les isoler et de leur démontrer que la perspective concentrationnaire est la seule issue possible à l’activisme politique révolutionnaire. Pour savoir de quoi nous parlons : la prison, ce sont des murs crados, du bruit, de la violence au quotidien, des privations, des murs blancs, des murs gris, des murs, des murs, des murs. Dans ce contexte, il est important de garder un lien avec les camarades en prison, de les soutenir d’une façon ou d’une autre. Qu’illes sachent : vous n’êtes pas seul.e.s, même si « on » veut vous faire croire l’inverse. Les soirées de soutien aux causes politiques ont pour but de visibiliser cette entraide et incarnent un moment furtif où nous, militant.e.s, camarades, activistes, révolutionnaires, sympathisant.e.s, freaks, sommes réuni.e.s ensemble, face à une société intrinsèquement capitaliste, raciste, spéciste, sexiste, LGBTI-phobe (liste à compléter à l’envi), dans un lieu safe.

Il est donc consternant, désespérant, attristant, que des individu.e.s, bien en « place » dans « la scène militante », brisent ce lien entre nous, entre nous et les activistes, les prisonnier.e.s déjà fragilisé.e.s, et préfèrent privilégier leur intérêt personnel au détriment de l’activisme politique et d’une cause libertaire commune.

Il nous apparaît donc difficile de minimiser des événements liés à une soirée de soutien organisée à Strasbourg, le 8 mars 2019, co-organisée avec une « figure » de la scène punk du grand-est, organisant des concerts et jouant dans des groupes aux textes engagés. À l’issue d’une soirée s’étalant sur près de dix heures, avec un repas vegan prix libre, des bières Meteor vendues au bar à 4 euros et 70 entrées payantes (chiffres communiqués par l’orga), la personne en charge de la caisse, appelée Nico Ge, a donné le lendemain 20 euros au comité, alors que l’événement était au bénéfice du comité. Il n’y a eu aucune concertation entre les groupes, le comité et Nico quant à la répartition de la « recette » de la soirée (270 euros, selon lui.). Les groupes ont chacun reçu de la part de Nico 60 euros, même s’ils venaient de Nancy (à 1H30 de route) et/ou étaient en tournée (240 euros au total). Évidemment, il apparaît inconcevable qu’une soirée où près d’une centaine de personnes soient présentes puisse dégager la somme communiquée par Nico Ge, donc moins de 300 euros – une fourchette crédible minimale aurait plutôt tendance à tripler cette somme. En tout état de cause, Nico ne s’est pas ému du faible montant collecté.

Loin de soupçonner un vol dans la caisse, il a au contraire tenté de le justifier une semaine durant, disant que chiffre était parfaitement « normal » jusqu’à ce que d’autres personnes du lieu soient alertées : le jour-même, il a alors admis «avoir fait une erreur », du fait d’une « étourderie », prétextant « arranger vite la situation ». Plusieurs semaines plus tard, il a en effet prétendu vouloir reverser le montant d’une « seconde caisse », oubliée on ne sait-où, soit : 360 euros. Le versement a été réalisé en deux fois, pour cause de « raisons personnelles » l’ayant obligé à utiliser une partie de cette somme pourtant bien faible comparée à l’expérience du collectif pour des soirées de soutien.

Ajoutons à ça, que Nico Ge, a :

-empêché de façon autoritariste le collectif d’accéder à la cuisine (à l’occasion de leur propre soirée de soutien)
– a prétendu qu’il n’y avait plus de « places de couchage disponibles » dans les locaux, alors qu’après une rapide visite dans les lieux, le sous-sol était pourvu de plusieurs lits, tous inoccupés (Etait-ce par contradiction spéciste, ou bien sexiste, qu’il voulait faire dormir les membres du collectif dans la salle même de concert, une fois que ceux-ci auraient été finis – soit cinq heures du matin – ?)
– a pour seuls arguments, lorsqu’il est accusé de voler de l’argent destiné à des activistes, de rétorquer qu’il a « vingt ans de scène » : nous en voyons le résultat
– que visiblement des choses inacceptables ont été commises de la part de son entourage proche (une fille frappée, une plainte chez les flics, des intimidations diverses)
– il n’a jamais répondu aux sollicitations du collectif, y compris au téléphone, afin d’avoir une explication quant à ses agissements
– il a arbitrairement fixé le prix des entrées à 5 euros, alors qu’il était convenu que la soirée serait prix libre (l’affiche en atteste)
– il n’a rien à répondre au fait que sur les « 270 euros collectés », il ne reverse que 20 euros au collectif soutenu, soit moins de 10 %
– il n’a rien à répondre lorsqu’il lui a été dit que 270 euros pour 70 personnes représenterait dans les faits, que chaque personne a donné un euro à l’entrée et n’a bu qu’une seule bière, tout en ne donnant rien pour le repas prix libre, sachant que la soirée a duré dix heures
– lorsqu’il a donné les recettes du soutien au collectif (20 euros), cela a été fait en aparté, sans aucune explication ou justification ni possibilité de discuter avec lui tant la sidération était grande
– il trouve visiblement acceptable de donner 20 euros pour des activistes politiques au terme d’une soirée réunissant près d’une centaine de personnes, avec cinq concerts, et Nico Ge ne s’émeut pas d’avoir organisé une soirée pour pouvoir donner au final, 20 euros à des camarades activistes ayant des problèmes avec le système policier judiciaire
– il a ensuite prétendu que le collectif avait eu 20 euros car la « soirée prix libre » avait « tout tué », bien que « 70 personnes » (?) étaient dans la salle et que le « prix d’entrée » a été fixé à 5 euros par Nico et ses amis pour une vingtaine de personnes, indépendamment du fait que des camarades solidaires ont donné, en « prix libre qui a tout tué », dix euros, quinze euros, trente euros
– Nico Ge a agi ainsi au terme d’une soirée où il a pourtant pu entendre le témoignage d’une camarade activiste quant aux conditions de détention et le quotidien destructeur dans les lieux de privation de liberté
– le lendemain, il a refusé de prendre dans son véhicule qu’il s’apprêtait à démarrer cette camarade activiste venue de Suisse à ses frais, afin de la rapprocher de la gare même de quelques centaines de mètres, car « il avait des trucs à faire »
– en conséquence, Nico Ge a eu un comportement général patriarcapitaliste et spéciste à l’opposé de nos valeurs. Il n’a jamais éprouvé de remords, fourni des excuses ou expliqué son geste d’une façon ou d’une autre en dépit d’innombrables sollicitations. Il détruit ce que d’autres construisent. Son acte a été prémédité, compte-tenu de son insistance incopréhensible pour faire payer les entrées. D’autres vols et violences sont également intervenus mais ne concernent pas le collectif. Il ne nous appartient donc pas de les relayer ici.

Ce texte est rendu public, en dépit d’intimidations demandant à ne « pas en parler », car il apparaît comme la dernière solution afin de faire cesser les agissements d’une personne bien connue des milieux militants et musicaux, qui incarne en privé tout ce qu’il dénonce en public.

Des antispécistes anarka-féministes anticapitalistes.

 

Publié sur Indymedia Nantes

 

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Soirée de soutien aux activistes antispécistes – Rennes

Date: 2019-07-13
Heure début: 18:00
Heure fin: 24:00
Lieu: 37 rue Legraverend à Rennes
Description:

Pour tou·te·s les activistes inculpé·e·s, retrouvons-nous le 13 juillet à Rennes.

Alors que les actions directes se multiplient pour contrer le système spéciste (miradors sabotés, abattoirs bloqués, vitrines caillassées), certain·e·s activistes subissent une répression sans précédents. Plusieurs sont condamné·e·s à de lourdes amendes, d’autres ont été ou sont toujours emprisonné·e·s.

Afin de ne pas se soumettre à l’Etat, le mouvement antispéciste se doit d’être solidaire avec celleux qui subissent cette répression. Nous vous invitons donc à cette soirée pour tisser des liens entre activistes ainsi que pour soutenir financièrement les personnes condamnées.

L’antispécisme étant puissant lorsqu’il place les opprimé·e·s au centre de la lutte, les sanctuaires sont des lieux indispensables à son avancée. Cette soirée aura ainsi également pour objectif d’aider les activistes qui agissent quotidiennement dans ces espaces conquis, en particulier le sanctuaire breton Dianken .

Les fonds récoltés seront partagés en deux entre le CSAA et le sanctuaire Dianken.

Au programme de la soirée :
– Buffet végane (prix libres)
– Badges, autocollants, visuels (prix libres)
– Projection sur l’action directe
– Débat sur l’action directe, la désobéissance civile, la violence…

Aucun comportement oppressif (sexiste, transphobe, spéciste, raciste, classiste, etc) ne sera toléré.

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